Et si l’argent n’avait pas d’importance?

Bonjour,

Aujourd’hui, je partage cette vidéo qui parle de l’importance de VIVRE!
Vivre ce n’est pas se contenter d’exister, de suivre l’ordre instauré par la société, aller à l’école pour rester assis des heures durant à écouter un professeur, souvent ennuyeux qui a choisi son métier pour la sécurité de la fonction plus que par passion (je ne dis pas qu’ils sont tous comme ça et fort heureusement d’ailleurs!), rentrer pour faire des devoirs qui pourtant ne sont plus du tout obligatoires depuis des années mais qui nous sont encore imposés comme une évidence, s’amuser peu et préférer se lobotomiser devant la télé ou les jeux pour oublier que demain il faut y retourner!

Et plus tard quand les études sont terminées, prendre le chemin des employés, aller chaque jour travailler pour l’enrichissement des hauts gradés. Se sentir souvent délaissés, chercher le rôle qu’on a à jouer, réfléchir à qui nous aurions été, si nous avions choisi notre métier. Faut pas se leurrer, nous sommes guidés, vers ce dont la société a le plus besoin pour amasser le plus possibles de deniers.

Elle est où la VIE? Celle qui nous extasie, dont je fais l’apologie, qui nous fait à tous envie, qui à nos choix nous associe, celle qui nous grandit dans cette idée de l’infini. La VIE est là! Elle est en toi ! Elle t’entoure de ses bras, elle t’embrasse avec émoi. La vie c’est ça, c’est cette aura qui colora chacun de nos pas. Et lorsque tu t’éveilleras, la vie tu comprendras ! Chaque épreuve tu regarderas, chaque personne tu accueilleras, avec la douceur de la foi, tu partageras toute ta joie.

En attendant, c’est en soupirant que nous restons tous somnolents. Nous ne réagissons pas aux agressions, malversations, déresponsabilisations qui nous entraînent dans la soumission. Nous préférons ne rien voir car c’est pénible de savoir que nous avons en nous le pouvoir, il faut seulement bien le vouloir. Nous fléchissons, nous subissons, nous nous plaignons comme des pions.

Pourtant une simple prise de conscience pourrait sauver notre insouciance, nous faire quitter cette errance que nous traînons depuis l’enfance. Prenons nos vies en main, choisissons notre destin, peu importe le chemin, tant qu’on décide de nos demains ! Nos âmes aspirent à cet éveil, pour découvrir toutes les merveilles d’un monde qui aujourd’hui s’éveille pour illuminer comme le soleil.

Soyons tous des étincelles, d’une ère nouvelle, qui ensorcelle. Mettons dans nos vies plus de miel, rendons les toutes un peu plus belles, qu’elles soient aussi plus spirituelles. Oublions maintenant la tristesse et retrouvons notre hardiesse, faisons de nos âmes les maîtresses de nos vies pleines d’allégresse.

J RH, le 12 mai 2017, 14h31

Egalité

Egalité

Egalité, c’est quoi ce mot mal usité? Pourquoi pense t on bien l’employer quand on l’affuble de parité?

L’égalité, c’est tellement plus que de montrer des statistiques souvent faussées. On pense qu’on est à égalité, pourtant notre âge, notre couleur et notre genre sont bel et bien considérés dans l’équation de nos données…

Pourquoi les femmes même diplômées seraient que les hommes moins douées? Pourquoi faut il pour exercer d’une paire de couilles être affublé?

Quand dans la réalité les femmes peuvent tout autant que ces messieurs exceller. Elles ont le sens des responsabilités, savent très bien s’organiser, planifier et performer.

Egalité, mon oubliée, tu es souvent maltraitée, comme si seuls les illuminés pouvaient comprendre toute ta beauté.

Egalité, tu es la source bien cachée de toutes nos opportunités, tu nous permets d’argumenter quand on lèse les minorités.

Egalité, toi qui voulait les êtres liés dans une nouvelle humanité, où chacun aurait son rôle à jouer pour permettre à tous d’avancer.

Egalité, Soeur de la liberté, tu guides les Hommes vers l’idée nouvelle d’équité, tu ouvres la voie à la félicité.

 

J RH , le 9 mai 2017, à 22h10

Jour 6 : Défi 66 jours

Bonsoir !

Aujourd’hui, j’ai une fois de plus participé à un défi. Il s’agissait de parler d’un auteur qui nous a marqué, qui nous émeut, que l’on admire tout simplement. Nous étions libres d’utiliser la méthode que nous voulions, l’essentiel était de donner envie aux lecteurs de découvrir l’auteur en question.

Belle lecture à vous !

 

Lecture Initiatique ou philosophie Spirituelle

« L’homme qui voulait être heureux » fut une découverte à la fois passionnante et inattendue. Au-delà d’un agréable moment de lecture, me plongeant dans une extraordinaire histoire humaine, j’ai arpenté le monde intérieur d’un homme en quête de lui même. Une réelle lecture initiatique m’entraînant bien plus que dans des aventures livresques, il s’agissait d’une exploration profonde de ce qui nous rend heureux. J’ai appris au fil de ce délicieux roman que toutes les réponses sont en chacun de nous. A travers ce récit philosophique et spirituel, Laurent Gounelle nous entraîne dans notre propre découverte. Bien plus qu’un écrivain qui raconte, il nous conduit subtilement à nous poser les vraies questions de notre vie, celles qui font avancer, celles qui ouvrent les yeux, celles qui nous plongent dans les profondeurs de notre intériorité.

Si « Les Dieux voyagent toujours incognito », alors cet auteur doit en faire  partie, car tel un Dieu de l’écriture, il nous guide à travers les épreuves de son personnage à faire connaissance avec la personne que nous sommes vraiment. Nous nous apprivoisons, nous nous dépassons en mettant parfois en pratique les défis donnés au personnage, et nous nous surprenons à obtenir des résultats là où nous n’attendions qu’une illusion romancée.

Oui, nous avons tous un petit côté du « (le) philosophe qui n’était pas sage ». Nous pouvons apprendre de nos erreurs, grandir et évoluer dans le respect de nos valeurs profondes et de nous même. Cependant, pour y parvenir nous devons nous ouvrir aux différents aspects d’une situation. Nous ne sommes pas omniscients, nous ne pouvons pas tout savoir tout le temps, et nous ne pouvons pas deviner comment les autres vont interpréter les choses. C’est en observant sans juger, en écoutant l’autre et notre cœur que nous pouvons toucher du doigt la vérité et rétablir l’équilibre en nous.

« Le jour où j’ai appris à vivre » m’a fait prendre conscience que je ne devais pas attendre le diagnostic d’une maladie grave pour vivre ma vie à mon image. Concrétiser nos rêves, voir grand, aimer beaucoup, nous lancer de nouveaux défis, nous dépasser, surmonter nos peurs et nos  blocages, voilà le coeur même de la vie ! Si nous ne voulons pas arriver à la veille du grand départ, rongés par les regrets et la mélancolie, alors vivons maintenant, vivons pleinement !

Cet écrivain est, à mes yeux, un philosophe des temps modernes, brandissant la bannière de la spiritualité, pour rappeler à l’homme que qu’elles que soient nos croyances, nous devons écouter notre coeur, nous connecter à ce qui est profondément ancré en nous. Il nous immerge, au travers de ses romans initiatiques, dans des profondeurs intérieures dont nous ressortons grandis et enrichis.

Merci monsieur Gounelle pour cette plume qui m’émerveille chaque fois plus.

Jour 4 : Défi 66 jours

Jour 4 : Défi 66 jours

Bonjour,

 

Me revoilà pour le défi du jour.

J’ai choisi de répondre à la question : « Pourquoi lisez vous? Que ressentez vous quand vous lisez? » Nous étions libres d’écrire ce que nous voulions comme nous le souhaitions…

 

Lecture quand tu me tiens !

 

La lecture est une sinécure.

Elle m’habite tel un murmure.

Elle est ma villégiature.

Sa pratique me transfigure.

N’y voyez nulle injure,

Si pour moi la littérature

Est une précieuse gravure,

Une activité douce et pure.

Romans, Histoires ou Aventures,

Je ne pratique pas la censure.

Chaque livre à son allure,

Et je refuse les déchirures !

Dans les textes nulle rayure,

Seulement quelques bavures,

Qui deviennent vite enluminures

Et les habillent telles des parures.

Oui la lecture n’est que dorure

Je chéris jusqu’à sa reliure.

Elle enrichit la culture,

Nous donne de l’envergure.

Amis lecteurs, chacun sa carrure,

On juge souvent la couverture,

De l’âme, elle est la nourriture

Et ne supporte pas la dictature !

 

Je lis pour me distraire, m’enrichir, me former, apprendre encore et toujours afin de donner le meilleur de moi même. La lecture c’est une activité qui permet de s’évader, de rêver, d’imager que les choses peuvent être différentes et que nous pouvons les rendre meilleures.
Je lis pour grandir, pour évoluer.
Quand je lis un bon roman, je vis de belles aventures par procuration. Je ne suis plus moi, je suis cet autre qui galope vers l’horizon, qui vole sur le dos d’un dragon ou qui explore les fonds marins et des espaces lointains à bord de vaisseaux encore inexistants.
Je ressens la peine et la joie des personnages, je ressens leur bonheur dans leurs réussites et leur douleur lors des épreuves. Je ressens la perte de leurs êtres chers, et je pousse avec eux le cri de la victoire.
Oui, j’oublie ma vie l’espace d’un roman, je suis une autre, je suis ailleurs. Et lorsque je réintègre ma réalité, parfois je reste songeuse, le sourire aux lèvres, encore toute chamboulée par les émotions partagées.

Voilà ce qu’est la lecture, elle est l’activité maîtresse, celle qui amorce l’écriture. Elle est à l’origine même de mon désir d’écrire car sans la lecture, sans la découverte de nombreux univers pourquoi aurai-je souhaité écrire?
Avant d’être auteur ou écrivain, nous sommes avant tout, pour beaucoup, lecteurs… Dévoreurs de livres ou lecteurs parcimonieux, choisissant avec attention ou lisant tout ce qui nous tombe sous la main… Peu importe, la lecture est à mes yeux un moment de détente inégalable qui me permet de m’isoler et de partir à l’aventure. La lecture est un précieux cadeau !

Jour 1 : Défi 66 jours!

Bonjour à tous!!

Ca y est nous voilà au premier jour de ce défi de 66 jours d’écriture. Je me lance dans un premier temps de la main gauche (j’écris d’abord sur un cahier) afin d’activer ma créativité et ce n’est pas évident. Je vais rester polie et dire que je suis un peu rouillée. Je n’écris plus « vraiment » et c’est dommage car cela stimule l’imagination et la créativité. Alors c’est partit!

 

Pour débuter ce défi, j’ai opter pour le mot « puzzle » car il a une grande signification dans ma vie.

 

La vie est un puzzle, un enchevêtrement de situations et de circonstances qui, imbriquées les unes dans les autres, composent notre existence. Il nous faut souvent prendre du recul pour comprendre l’image qui se forme petit à petit. Nous regardons les pièces une à une et nous cherchons l’emplacement logique qui s’accorde non seulement par la forme mais aussi par le dessin. Parfois nous parvenons à assembler deux éléments, fiers d’avoir avancé, seulement nous nous rencontrons compte par la suite que cette association n’était pas celle de l’image finale. Il nous faut alors reprendre la pièce pour trouver l’emplacement idéal.

Le puzzle est une activité de patience, de persévérance. Combien de personnes ai je entendu dire qu’elles ne réussissaient jamais à terminer un puzzle? Qu’elles abandonnaient feutr de temps, de patience, de motivation? D’ailleurs, au fond, quelle est la motivation réelle pour entreprendre la réalisation d’un puzzle? Pourquoi ce desir de vouloir assembler des morceaux éparpillés? Pourquoi chercher à reconstituer l’image de départ?

C’est peut-être là qu’il faut chercher. L’image de départ est aussi l’image finale. Nous avons tous rêvé notre vie future lorsque nous étions enfants. Combien d’entre nous parviennent à assembler les éléments de leur vie pour reconstituer la vision qu’ils avaient imaginé plus jeune?

 

Le puzzle demande de la patience certes, car il faut le temps d’integrer la forme des pièces, leur couleur, leur motif. Le cerveau assimile les informations petit à petit, à force d’observation, pas de jugement. Ce n’est pas à nous de juger si une pièce est utile ou non à un puzzle, pas à nous de définir l’image, elle est déjà prédéfinie, nous n’avons qu’à la reconstituer.

Cette activité demande aussi de la persévérance car celui qui abandonne en cours de route devra tout reprendre la fois suivante. Ce sera donc un travail sans fin. En revanche, celui qui persévère connaîtra des moments plus lents que d’autres où il lui faudra être plus attentif, organisé les éléments pour comprendre leur fonction dans le tableau final, il continuera d’avancer malgré tout. Il lui faudra faire preuve de logique agrémenté d’une belle touche de créativité et de fantaisie. Car parfois si une couleur nous semble convenir parfaitement dans le décor, la forme refusé obstinément de s’imbriquent même en la tournant dans tous les sens. Prendre le recul nécessaire, lâcher prise, respirer et chercher d’autres éléments peut permettre de découvrir l’emplacement de cette pièce un peu plus loin que nous ne l’avions imaginé.

Il en est de même de nos vies. Nous voulons à tout prix savoir si nous sommes sur la bonne voie, nous voulons nous réaliser pleinement. Oui mais voilà, nous ne prenons pas le temps de nous poser pour lâcher prise sur les situations qui ne « cadrent » pas avec notre « image » finale. Nous nous sommes inventé une vie idéale, parfaite en tout point, et lorsque notre vie « réelle » ne correspond pas en tout point, MAINTENANT, à ce que nous imaginons, nous pensons que rien ne va, que nous n’y arriverons pas. Pourtant, chaque épreuve, chaque pas que nous faisons trouve sa place dans notre puzzle personnel. Notre cheminement est plus ou moins long, plus ou moins complexe, mais toujours pour nous conduire à cette reconstitution de qui nous sommes.

Il ne nous reste plus qu’à vivre pleinement chaque instant, en conscience, pour que notre puzzle personnel nous apporte autant de joie à le réaliser que nous en ressentirons une fois que nous l’aurons terminé. Le plus important n’est il pas les conditions dans lesquelles nous parcourons notre chemin? Si nous sommes en colère, notre victoire nous semblera bien amère. En revanche, si nous profitons de chaque instant pour y voir la joie et le bonheur, alors notre succès sera triomphant et heureux!

À vos puzzles!! 😄