Pensées enfermées, qui suintent le mépris.
Pour qui donc perturber le cours de nos vies?
Ces moments inavoués, de douce mélancolie,
Preuves effacées de nos rêves inassouvis.

Pensées dérangées, feignant l’indifférence!
Ces instants déplacés, où règne l’ignorance,
Quand le coeur fatigué de trop grandes errances
Fini juste épuisé, lassé de tant d’absence.

Pensées Envolées. Quelle douce mélopée!
Mots susurrés, parfois même chantonnés.
Il m’arrive de pleurer, et la peine évacuer.
Pourquoi décider, notre esprit torturé?

Pensées Délivrées, goûtant leur liberté!
Dans les yeux amusés, danse la vérité.
Toutes belles égayées, elles savent délirer
Ces pensées colorées au goût d’éternité.

Jennifer RH, 17 octobre 2017

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